Fabrice Thomas
est un faux collagiste. De loin, on jurerait qu’étiquettes et photos sont venues se poser dans un grand vent. De près, on découvre la minutieuse technique qui reproduit logos, typos, photos et images à profusion.
est un faux collagiste. De loin, on jurerait qu’étiquettes et photos sont venues se poser dans un grand vent. De près, on découvre la minutieuse technique qui reproduit logos, typos, photos et images à profusion.
jeune roumaine héritière d’une famille de peintres naïfs, déroule les quatre saisons d'une vie paisible des paysans des Carpates : jeux d’enfants, ramassage des pommes et du foin, fêtes de village. Elle expose dans toute l’Europe.
peint des personnages mélancoliques qui déambulent dans des paysages incertains, des jours embrumés illuminés par un soleil pâle.
occupera la salle de sculpture avec des œuvres en pierres calcaires et en marbre. Les courbes des corps humain sont souvent prises comme support de travail.
est un spécialiste du trompe-l’œil et de l’hyperréalisme. Il excelle à rendre les transparences de l’eau, du verre et même du plastique.
renoue avec l’art optique à la Vasarely des années 60. Ses tableaux sont traités de manière graphique créant mouvement et ondulations à l’œil du spectateur.
magnifie les intérieurs en jouant des ombres et de la lumière.
calligraphe, explore et joue avec les signes d’écriture au gré de ses inspirations. La ligne directrice est la recherche d’harmonie.
donne vie à des scènes de rue. Son couteau grince sur la toile, pour accentuer le relief, la brillance et peindre les perspectives.
elle se qualifie elle-même de « bestioleuse », avec du papier mâché, elle crée des animaux improbables tout en rondeurs et aux couleurs chatoyantes.