Martine Favreau
va nous faire partager sa vision de l’univers maritime : des gros plans, de la matière ou comment voir la beauté là où on l’attend pas.
va nous faire partager sa vision de l’univers maritime : des gros plans, de la matière ou comment voir la beauté là où on l’attend pas.
est un artiste plasticien irakien dont l’activité aborde divers domaines: peinture, gravure, sculpture, céramique, cliché photographique pour films d'animation ou écriture. Il présentera un ensemble de grandes céramiques consacrées aux femmes de son pays natal.
Baignée, dès son enfance, dans l’univers maritime, Brigitte Sidaner, sur des bois en provenance de bateaux, rend hommage au travail des marins pécheurs bretons, compagnons de son père. Son art, vif et puissant, relève, plus que de l’art naïf, d’un expressionnisme joyeux.
Chantre de la Bretagne et de ses paysages, Yann Quéméneur nous offre une vision à la fois réelle et imaginaire de la terre de ses ancêtres. Son art, poétique et naïf, s’est enrichi, dans le traitement des lignes et des pans colorés, des techniques des maîtres japonais de l’estampe.
Manon Perrier est une jeune sculptrice de 27 ans qui traduit ses émotions, son ressenti sur la condition humaine dans la terre qu’elle travaille avec passion. Son engagement qui rappelle celui de Camille Claudel est total et lui vaut déjà la reconnaissance des spécialistes qui lui ont offert de fixer dans le bronze sa quête de la beauté expressive.
Vénézuélien vivant en France depuis plus de 40 ans, Alvaro Méjias, nous propose des oeuvres complexes, riches de symboles. Images conscientes et inconscientes se superposent dans une symphonie surréaliste latino-américaine harmonieusement colorée.
Se refusant à opter pour le figuratif ou pour l’abstrait, Jean Hondré poursuit ses recherches sur l’art comme producteur de sens. Ses séries de papiers, associés/dissociés, marouflés ou non sur toile, sont autant de réponses possibles à cette question fondamentale du rôle de l’art dans une société.
Longtemps modéliste pour les couturiers parisiens, à 70 ans, Marie Luce Ferreol se lance avec toute son énergie dans la peinture. Comme si elle devait rattraper le temps perdu, elle produit une oeuvre abondante et passionnante. Ses femmes, étonnamment belles, sont toujours inscrites dans un univers coloré, riche et expressif.
Admiratrice de Turner, Anne Dumesnil, installée à Pornic, enveloppe ses paysages réels ou imaginaires dans un système coloré nuancé ou puissant qui les transfigure. Ses oeuvres, souvent prolongements de voyages, incitent le spectateur à rêver, à inventer, pour son plus grand plaisir, ses propres vagabondages.
Jean-François Dolbeau poursuit inlassablement son oeuvre de dénonciation des fauteurs de mensonges qui ont l’ambition de gérer nos vies. En prélude à la grande exposition que lui consacrera le musée de La Roche sur Yon, il exposera une surprenante installation intitulée « mascarade », authentique introduction dans le cirque des bonimenteurs qui haranguent les foules.